Les polars labyrinthiques réalisés par des petits malins sont devenus une espèce de mode depuis l’avènement de Bryan (Usual Suspects) Singer et de Quentin (Pulp Fiction) Tarantino. Et 10 Minutes à vivre est un parfait exemple de ces petits jeux pervers avec le public. Et aussi une grande réussite. Ces 10 minutes capitales dans la vie d’un informaticien se répètent et se répondent à l’infini pour le plus grand plaisir des spectateurs qui aiment se faire balader. Scott Storm tient ce concept un peu casse gueule jusqu’au bout (attention aux renversements de situations qui vrillent le cerveau) et livre un petit polar réjouissant qui mérite d’être découvert

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